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Après vérification de l’origine des fonds, ’ces derniers ont été entièrement bloqués sur une adresse blockchain dédiée à l’opération, en amont du compromis et convertis en euros, puis transférés au notaire sur son compte CDC suite à son appel de fonds’, explique Legibloq à BFM Crypto.

Pour la première fois en France, une transaction immobilière aura lieu en utilisant une blockchain. Cette technique offre d’importantes ...

Notre solution permet à tout acquéreur disposant de cryptoactifs de les utiliser directement pour acheter un bien immobilier, sans passer par une banque ni impacter le vendeur, en respectant les obligations liées à la lutte contre le blanchiment et le financement du terrorisme. L’acquéreur, détenteur de cryptoactifs, transfère ses fonds directement dans un séquestre sécurisé, sans avoir à les convertir au préalable en euros, le notaire reçoit le jour de la signature le montant en euros.

Notre ambition est de libérer les montants aujourd’hui bloqués en cryptomonnaie et de les injecter en toute conformité dans l’économie traditionnelle. Cette première transaction prouve que c’est possible dès aujourd’hui », a expliqué Emeric Fillatre, cofondateur de JBDA.

JBDA a vérifié l’origine des fonds numériques avant de les placer sur un compte séquestre via sa solution baptisée Legibloq.

L’acquéreur, détenteur de cryptoactifs, transfère ses fonds directement dans un séquestre sécurisé, sans avoir à les convertir au préalable en euros, le notaire reçoit le jour de la signature le montant en euros.»

Et cela, grâce à la startup française Legibloq, qui a permis de convertir la crypto en euros.

Tout ça, orchestré dans les règles de l’art grâce à la plateforme Legibloq, développée par la startup tricolore JBDA.

Grâce à un système de séquestre sécurisé, l’acquéreur achète une maison près de Lyon pour 370 000 € sans convertir à l’avance ses cryptos en euros. Le notaire, lui, reçoit la somme en euros le lendemain de l’appel de fonds.

Créée par Jarvix, un spécialiste blockchain, et un cabinet d’avocats d’affaires, la startup a développé la solution Legibloq® pour permettre une transaction immobilière fluide et sécurisée sans avoir converti les cryptos en euros.

L’acheteur a dû s’aider de la solution Legibloq développée par JBDA, une start-up basée dans les Alpes-Maritimes, qui a permis de sécuriser la transaction et vérifier l’origine des stablecoins.

L’acheteur, salarié de 35 ans, a ainsi pu acquérir sa résidence principale pour 370 sans que le vendeur ne soit exposé aux risques de volatilité. Le paiement effectué en stablecoins a été converti en euros via Legibloq, solution fruit d’une collaboration entre une spécialisée en blockchain et un cabinet d’avocats.

L’offre de Legibloq® est la solution la plus simple et transparente pour permettre d’acheter des biens immobiliers avec des cryptomonnaies.

Legibloq®, lancée fin 2024, repose sur un mécanisme de séquestre de cryptomonnaies conçu pour garantir la sécurité juridique et financière des parties.

En France, même si les notaires ne peuvent pas recevoir directement des cryptomonnaies sur leurs comptes à la Caisse des Dépôts, des solutions comme Legibloq® permettent une conversion sécurisée via un séquestre notarial, garantissant la conformité réglementaire et la traçabilité des fonds.

D’autre part, le vendeur peut se sentir rassuré par le fait de recevoir le paiement en euros, ce qui annule le risque lié aux fluctuations du marché des cryptos.

L’opération a été rendue possible via la solution « Legibloq » développée par JBDA (fruit d’un partenariat entre Jarvix et le cabinet Bruzzo Dubucq). Cette solution assure de l’innovation et de la sécurité pour les deux parties.

Legibloq de JBDA est un dispositif de séquestre de cryptomonnaie. Il permet à tout acquéreur disposant de crypto-actifs de les utiliser directement pour l’achat d’un bien immobilier. Et ce sans passer par une banque ni par le vendeur, qui reçoit directement son argent en liquide avec la garantie d’une opération légalisée.

Le 19 juin 2025 a marqué un tournant dans la vie de l’immobilier français : pour la première fois, une maison a été achetée à Lyon en cryptomonnaies, pour un montant de 370 000 euros.

Le système repose sur un séquestre sécurisé, un mécanisme de surcollatéralisation pour absorber la volatilité et une conformité stricte avec la réglementation LCB-FT et MiCA.

Simple et conforme au cadre juridique français et européen, elle permet à l’acheteur de se passer d’une banque. Et ce tout en respectant les obligations liées à la lutte contre le blanchiment et le financement du terrorisme.

Nous ne ‘contournons’ pas le système, nous en bâtissons un nouveau, plus agile et adapté au patrimoine du 21e siècle. Nous faisons le travail de traduction et de vérification que les banques refusent encore de faire », explique le fondateur d’un PSAN français.

Conçue pour être à la fois simple et conforme au cadre juridique français et européen, elle permet à tout acquéreur disposant de crypto-actifs de les utiliser directement pour acheter un bien immobilier, sans passer par une banque ni impacter le vendeur.

Non, il perçoit uniquement des euros grâce à la conversion opérée par JBDA, ce qui lui évite le risque lié à la volatilité.

La première transaction immobilière crypto a été réalisée par Legibloq, une plateforme française innovante qui propose un service de séquestre crypto-asset certifié.

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